Julien Falgas 🪡<p><span class="h-card" translate="no"><a href="https://mastodon.top/@defakator" class="u-url mention" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">@<span>defakator</span></a></span> <span class="h-card" translate="no"><a href="https://piaille.fr/@fidel" class="u-url mention" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">@<span>fidel</span></a></span> </p><p>Face à la surcharge informationnelle, les fact-checker eux-mêmes doutent de la pertinence de la tâche. On ne peut pas exercer son esprit critique face à un tel flot d'informations.</p><p>On ne peut pas vérifier chaque info affichée sur un flux de réseau social qui les décontextualise toutes et y mêle blagues, militantisme, approximations et interprétations personnelles.</p><p>Dans cet écosystème informationnel, expliquer le modèle des plateformes devient central pour l'<a href="https://piaille.fr/tags/EMI" class="mention hashtag" rel="nofollow noopener noreferrer" target="_blank">#<span>EMI</span></a>.</p><p>Une fois compris que tout est fait pour capter notre attention, il me semble que le seul choix raisonnable serait d'en sortir et de faire autrement.</p><p><a href="https://theconversation.com/fake-news-et-complotisme-pourquoi-une-telle-acceleration-91202" rel="nofollow noopener noreferrer" translate="no" target="_blank"><span class="invisible">https://</span><span class="ellipsis">theconversation.com/fake-news-</span><span class="invisible">et-complotisme-pourquoi-une-telle-acceleration-91202</span></a></p>